Méta (MÉTA
une espèce rare d’abeille a été découverte
sur un terrain où l’entreprise prévoyait d’installer un centre de données d’intelligence artificielle alimenté par l’énergie nucléaire, a rapporté le Financial Times, citant des personnes au courant du sujet. Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg aurait déclaré aux employés lors d’une réunion générale que les abeilles rares compliraient encore un accord avec une centrale nucléaire existante pour construire le centre de données.
Outre les abeilles, l’accord potentiel serait confronté à des défis environnementaux et réglementaires, ont indiqué des personnes au Financial Times. Le géant de la technologie est toujours à la recherche d’accords sur l’énergie sans carbone pour soutenir la demande croissante d’énergie issue du développement de son IA, et Zuckerberg n’est pas satisfait des options nucléaires limitées des États-Unis, ont indiqué des personnes à la publication.
Zuckerberg aurait déclaré à ses employés que Meta aurait été le premier parmi ses pairs de la Big Tech à disposer d’une IA alimentée par le nucléaire et qu’il aurait eu la plus grande centrale nucléaire pour ses centres de données si l’accord avait fonctionné. Meta n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire de Quartz.Pendant ce temps, Amazon (AMZN)Google (GOOGLE), et Microsoft
(MSFT)
ont tous récemment accords signés sur l’énergie nucléaire alors que les entreprises technologiques sont aux prises avec la consommation massive d’énergie de l’IA. En octobre, Amazon signé trois accords « soutenir le développement de projets d’énergie nucléaire », notamment la construction de « plusieurs » petits réacteurs modulaires (SMR). Ces réacteurs nucléaires « avancés » ont « une empreinte physique plus petite, ce qui leur permet d’être construits plus près du réseau », a déclaré Amazon.
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