
Weight Watchers (WW) a annoncé mardi qu’elle déposait le bilan pour tenter de se sortir d’une dette de plus d’un milliard de dollars. Cette nouvelle survient alors que la société se recentre sur la prescription de médicaments GLP-1 pour la perte de poids comme Ozempic.
L’entreprise de perte de poids autrefois emblématique, contrôlée par sa société mère WW International Inc., a déclaré qu’elle prévoyait de sortir de la faillite dans les 45 jours et qu’elle continuerait à fonctionner. selon NPR.
L’entreprise a annoncé son passage à la prescription de médicaments amaigrissants en 2023, mais a eu du mal à rester compétitive sur un marché concurrentiel. Elle a également perdu sa porte-parole la plus importante, Oprah Winfrey, en 2024, qui a quitté le conseil d’administration après avoir annoncé qu’elle prenait un médicament amaigrissant.
Les actions de la société de 62 ans ont atteint un sommet d’un peu plus de 100 $ en 2018, mais ont depuis chuté et valent moins d’un dollar depuis début février. Elles ont encore plus chuté mercredi après l’annonce de la faillite, en baisse de plus de 45 % à 11 h, heure de l’Est, et s’établissent à 0,43 $ l’action.
Tara Comonte, PDG par intérim qui a pris ses fonctions l’automne dernier après la démission de Sima Sistani, a déclaré dans un communiqué mardi : « Alors que la conversation autour du poids se tourne vers la santé à long terme, notre engagement à fournir les solutions les plus fiables, les plus scientifiques et les plus holistiques, fondées sur le soutien communautaire et des résultats durables, n’a jamais été aussi fort ni aussi important. »
L’annonce intervient après que Weight Watchers a signalé une baisse de 10 % de ses revenus au premier trimestre, selon NPR. La société progresse toutefois avec ses revenus d’abonnement clinique, enregistrant une augmentation de 57 % d’une année sur l’autre pour atteindre 29,5 millions de dollars.
Ce contenu a été traduit automatiquement à partir du texte original. De légères différences résultant de la traduction automatique peuvent apparaître. Pour la version originale, cliquez ici.