TGI Fridays, en faillite, possède 50 millions de dollars de cartes-cadeaux inutilisées

Cela fait craindre aux franchisés de devoir payer la facture si la chaîne fait faillite

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Un restaurant TGI Fridays à Leicester Square à Londres.
Un restaurant TGI Fridays à Leicester Square à Londres.
Image: Roger Utting Photography (Getty Images)

Les choses ne sont pas vraiment festives au TGI Fridays. C’est parce que la chaîne de bars et de grillades est aux prises avec un problème majeur dans son dossier de faillite: Cartes-cadeaux non utilisées.

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L’entreprise fait actuellement face à une facture de 49,7 millions de dollars liée à cartes-cadeaux non utilisées – bien plus que l’argent dont elle dispose, malgré l’emprunt de 5,9 millions de dollars pour financer sa faillite, comme l’a rapporté Reuters (TRI+0.70%).

Cela met les franchisés en état d’alerte maximale, craignant de devoir payer la facture si la restructuration financière de l’entreprise dérape. Un avocat représentant les franchisés a expliqué que, bien qu’ils puissent accepter des cartes-cadeaux comme moyen de paiement, rien ne garantit qu’ils seront remboursés si les clients se dépêchent d’utiliser les cartes pendant la procédure de faillite.

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TGI Fridays possède 39 établissements aux États-Unis, tandis que ses franchisés exploitent plus de 100 restaurants nationaux et plus de 460 à l’international. L’entreprise a déjà fermé 50 établissements cette année. La plupart des établissements TGI Fridays aux États-Unis étant des franchises, l’incertitude entourant le remboursement rend les propriétaires de franchises particulièrement vulnérables en cas de faillite.

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Lors d’une audience au tribunal, le juge a autorisé le programme de cartes-cadeaux à se poursuivre pour le moment, donnant ainsi aux franchisés plus de temps pour déterminer si l’entreprise peut couvrir ces obligations.

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La chaîne basée au Texas a déposé une demande Chapitre 11 de la faillite protection le 2 novembre, invoquant la hausse des coûts et la baisse de la demande des clients pour des repas décontractés, aggravées par la pandémie. L’entreprise lut depuis des années pour retrouver sa base dans un environnement de plus en plus compétitif marché.

Malgré les tentatives de reprise, le trafic piétonnier a chuté. Des données récentes révèlent une chute stupéfiante de 39 % du nombre de visites d’une année sur l’autre au cours de la semaine du 21 octobre, ce qui reflète une baisse de 37 % du trafic le 1er janvier, selon la société d’analyse du trafic piétonnier Placer.ai. Cette baisse reflète non seulement le changement post-pandémie, mais également changer les habitudes de consommation et hausse des coûts qui étouffent la marque.

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Avec 37 millions de dollars de dettes et un plan de vente de ses actifs d’ici début janvier, la pression est plus forte que jamais. Pour aller de l’avant, il faudra bien comprendre ce qu’est la situation actuelle. les convives désirent vraimentau-delà du simple bon rapport qualité/prix.

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