Super Micro Ordinateur (SMCI+1.82%) les actions ont chuté de 32 % dans les échanges du matin mercredi, tournant autour de 32 $, après la société de serveurs a annoncé que son auditeur, Ernst & Young, avait démissionné. Ce départ fait suite à des mois de désaccord sur les pratiques de gouvernance et l’indépendance du conseil d’administration de SuperMicro.
Les conflits entre Ernst & Young et Super Micro Computer ont commencé fin juillet, lorsque l’auditeur a soulevé des inquiétudes concernant les contrôles financiers internes, la gouvernance et la transparence de l’entreprise. En réponse, Super Micro a formé un comité spécial du conseil d’administration pour enquêter sur ces problèmes. Cependant, Ernst & Young a finalement conclu qu’elle ne pouvait plus se porter garante des états financiers de l’entreprise.
Dans sa lettre de démission, EY a déclaré qu’elle n’était « pas disposée à être associée aux états financiers préparés par la direction », citant des informations récentes qui rendaient impossible de se fier aux déclarations faites par la direction et le comité d’audit de SuperMicro.
La nouvelle survient plus d’un mois après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a accusé l’entreprise technologique d’irrégularités comptables et de transactions présumées avec des sociétés russes sanctionnées, ce qui a fait chuter le cours des actions de la société.
Super Micro Computer stock is still up about 16% so far this year, and was trading at about $33 per share shortly after markets opened Wednesday morning.
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