Des copies des compagnies maritimes gaspillent du carburant de la manière la plus stupide possible

La solution Blue Visby bouleverse la notion vieille de plusieurs siècles de la voile aussi rapidement que possible

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Un grand cargo chargé de conteneurs naviguant en mer.
Photo: alvarez (Getty Images)

Des chercheurs du Consortium Blue Visby ont développé une solution simple qui réduira considérablement les émissions de carbone produites par transport maritime international avec des rénovations coûteuses de navires déjà en service. La solution : naviguer plus lentement. La semaine dernière, le groupe de recherche a publié les résultats d’une étude de deux mois. un essai sur deux navires montre une réduction de 17,3 pour cent des émissions de dioxyde de carbone. Bien que les résultats soient prometteurs, cela nécessitera un effort à l’échelle de l’industrie. pour avoir un impact positif sur le climat de la planète.

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La solution Blue Visby n’est pas une simple limitation de vitesse comme vous le verriez sur une autoroute en conduisant votre voiture. Il s’agit d’un système opérationnel basé sur un algorithme dans lequel les navires ralentissent leur vitesse de croisière pour arriver au port au moment le plus opportun, comme pour l’expédition juste à temps. La solution vise à remplacer l’approche vieille de plusieurs siècles Naviguez plus vite que d’attendre (SFTW), où les navires arriveraient à leur destination le plus rapidement possible qu’attendre d’accoster. Visby Bleu explique dans un communiqué :

Le SFTW ne peut pas être résolu par des navires individuels ou de manière bilatérale entre un armateur individuel et un affréteur individuel. Il s’agit d’un défi systémique qui nécessite une solution systémique. La solution Blue Visby combine des logiciels, des opérations et des contrats, afin d’optimiser de manière systémique le passage océan des navires participants , et réduit ainsi les émissions de CO2. Cela n interfère pas avec la planification du voyage ou l’acheminement météorologique des navires individuels ; et ce ne n’interfère pas avec interférer avec l’accostage ou avec les opérations portuaires.

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Blue Visby affirme que les résultats de l’essai prouvent que la solution n’a aucun impact sur les opérations malgré les vitesses réduites. Deux vraquiers, le M/ Le V Gerdt Oldendorff et le M/V Begonia ont constaté une diminution de 17,3 pourcent des émissions de CO2 par rapport à un voyage à sa vitesse de service de 14 nœuds, soit environ 16 miles par heure.

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L’industrie du transport représente près de trois pour cent des émissions à effet de serre, selon les Nations Unies. Ce chiffre a augmenté de 20 pourcent au cours de la dernière décennie. Si la solution Blue Visby est adoptée dans l’ensemble du secteur, l’augmentation des émissions pourrait être anéantie du jour au lendemain grâce à pas de modifications bizarres ou coûteuses aux navires eux-mêmes. Le seul véritable obstacle est d’amener la planète entière à d’accord pour faire quelque chose.

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A version of this article originally appeared on Jalopnik.

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