Les sanctions américaines pourraient donner au Kremlin un blocage majeur des exportations. Le Financial Times rapporte que la Russie a décidé de stocker le gaz naturel pompé depuis le cercle polaire arctique, car son acheminement vers les clients est s’est avéré trop difficile.
Le journal suggère que les images satellite et les données de suivi des navires permettent de conclure que l’entreprise énergétique privée Novatek ne trouve personne pour lui retirer la ressource, ce qui constitue un coup dur pour Arctic LNG 2, un effort de forage de signature par le président Vladimir Poutine.
La Russie pourrait soutenir son économie grâce à dépenses militaires agressives au milieu de son invasion de l’Ukraine, mais son PIB dépend toujours de l’exportation de ressources naturelles. Sanctions imposées en réponse à cette invasion par les États-Unis et l’Europe, d’abord contre la Russie elle-même puis par un soi-disant «flotte de l’ombre« des entités secrètes utilisées pour exécuter ses ordres pourraient avoir plus d’effet qu’on ne le pensait auparavant.
Le Département d’État des États-Unis s’est donné une tape dans le dos Jeudi pour ralentir le rythme du projet LNG 2 : « En collaboration avec nos partenaires du G7 et d’autres alliés, nous resterons déterminés à contrer l’exploitation par la Russie de ses ressources énergétiques à des fins politiques. »
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