La nouvelle année a apporté une nouvelle série de mises à jour aux règles fédérales de transparence des prix des hôpitaux.
La dernière mise à jour, qui est entrée en vigueur le 1er janvier, oblige les hôpitaux à inclure des données supplémentaires dans leurs fichiers de prix publics afin de créer une cohérence et de faciliter la comparaison des prix. Plus particulièrement, les hôpitaux doivent désormais déclarer trois nouveaux points de données : « quantité autorisée estimée », des détails sur les mesures des médicaments et les modificateurs de facturation.
Ces mises à jour représentent la troisième et dernière phase de l’initiative de transparence des prix hospitaliers des Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS), qui a débuté avec Déploiement initial en 2021. Cette première phase obligeait les hôpitaux à publier en ligne des informations complètes sur les tarifs, notamment un fichier lisible par machine détaillant tous les articles et services qu’ils fournissent, ainsi qu’une présentation des services conviviale pour le consommateur.
L’un des changements les plus notables de cette année est l’ajout du « montant estimé autorisé », qui indique le paiement moyen qu’un hôpital a historiquement reçu d’un assureur pour un service ou une procédure spécifique. Dans le passé, les hôpitaux laissaient souvent ces champs vides, les étiquetant « non applicables » lorsque les paiements étaient déterminés par des formules ou des algorithmes.
Les modifications apportées aux rapports sur les médicaments visent à normaliser la manière dont les hôpitaux divulguent les types de médicaments et les unités de mesure. Les rapports incohérents rendent depuis longtemps difficile la comparaison des coûts des médicaments entre les différents prestataires.
L’inclusion de modificateurs de facturation normalisera également la manière dont les services sont codés et tarifés. Les modificateurs sont des codes à deux chiffres qui expliquent les détails clés d’une procédure, comme si elle a été effectuée des deux côtés du corps ou si elle a été répétée.
Avec ces changements, le CMS vise à ce que les patients disposent des outils nécessaires pour prendre des décisions plus éclairées. Cependant, rapport Une étude réalisée en novembre par l’organisation à but non lucratif Patient Rights Advocate a révélé que seuls 21,1 % des 2 000 sites Web d’hôpitaux américains analysés étaient entièrement conformes aux règles.
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