Bitcoin est à nouveau en dessous de 60 000 $ alors qu’une vague d’indicateurs économiques a provoqué un week-end de ventes massives.
La principale crypto-monnaie s’échangeait à environ 59 600 dollars lundi matin, en baisse de 1,7 % au cours des dernières 24 heures, mais en hausse de plus de 2 % en début de matinée. Le Bitcoin a connu une montagnes russes de quelques semaines. Au début de la semaine dernière, au milieu d’une induit par l’anxiété liquidation boursière mondiale, il a chuté à 50 000 $ de 70 000 $, avant de rebondir à 60 000 $ quelques jours plus tard.
Ces mouvements ont porté la capitalisation boursière du Bitcoin à 1,18 billion de dollars, selon CoinMarketCap. Dans une divergence rare, Ethereum, la deuxième cryptomonnaie la plus populaire, a augmenté de 0,2 % au cours de la dernière journée, s’échangeant à un peu de moins de 2 700 $. Sa capitalisation boursière est de 321 milliards de dollars.
Mais d’autres crypto-monnaies populaires ont suivi les traces de Bitcoin. Solana a chuté de 2,5 %, Dogecoin a chuté de 1,43 % et Cardano a chuté de 2,1 %. Cela a réduit de 2 100 milliards de dollars la valeur du marché des crypto-monnaies au sens large.
L’influence du marché
Les marchés étant particulièrement sensibles aux nouvelles économiques, le Bitcoin pourrait rester volatil. Les derniers chiffres de l’indice des prix à la consommation aux États-Unis seront publiés mercredi et l’indice des prix à la production au Japon chutera mardi.
Les bénéfices des entreprises sont un autre indicateur clé de la santé des consommateurs et de l’économie. Le détaillant américain Walmart et le site de commerce électronique chinois Alibaba devraient tous deux publier leurs résultats cette semaine. Les résultats des deux géants ont le potentiel de faire bouger le marché, car les craintes concernant l’économie américaine ont commencé à faire surface.
Les actions ont chuté lundi dernier après la baisse de juillet rapport sur les emplois Les données ont montré que le chômage avait augmenté plus que prévu pour atteindre son plus haut niveau en trois ans. Les employeurs n’ont créé que 114 000 emplois en juillet, ce qui est bien en deçà des 175 000 emplois prévus par les économistes interrogés par FactSet. Ces deux nouvelles ont signalé aux investisseurs que les tentatives de maîtrise de l’inflation ont peut-être trop refroidi l’économie.
Dans le même temps, la Banque du Japon a relevé son taux d’intérêt de référence, provoquant une augmentation de la valeur du yen, soulevant des craintes de « carry trades ». Il s’agit d’une stratégie de trading qui consiste à emprunter avec une devise à un taux d’intérêt faible, comme le yen, et à l’utiliser pour acheter des investissements à rendement plus élevé.
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