Les acheteurs américains apprécient les fêtes de fin d’année, et ce malgré les défis économiques tels que la pandémie. controversé élection présidentielle, inflation persistante et perturbations météorologiques graves, les familles doivent toujours être faire des folies en matière de cadeaux cette saison.
Mardi, la National Retail Federation (NRF) a annoncé que les ventes des fêtes devraient augmenter de 2,5 à 3,5 % par rapport à l’année dernière, atteignant potentiellement jusqu’à 989 milliards de dollars. Bien que cela marque un léger ralentissement par rapport à la croissance de 3,9 % observée en 2023, cela correspond à l’augmentation annuelle de 3,7 % typique de l’ère pré-pandémique.
« L’économie reste fondamentalement saine et continue de maintenir son élan à l’approche des derniers mois de l’année », a déclaré Matthew Shay, PDG de la NRF. Il a noté que les dépenses seront alimentées par une fort marché du travail et augmentation des salaires.
Le commerce électronique devrait à nouveau mener la croissance du commerce de détail, avec des augmentations attendues de 8 à 9 %, pour un total d’environ 295 à 298 milliards de dollars. Cette croissance souligne la poursuite changement dans les habitudes d’achat des consommateurs envers les plateformes en ligne.
En tant que détaillants préparer pour rehaussé demande de vacances, NRF s’attend à ce que les entreprises embauchent entre 400 000 et 500 000 travailleurs saisonniers cette année, certains commençant en octobre pour des événements d’achat anticipé. L’estimation des embauches de cette année est légèrement inférieure au total de 509 000 embauches saisonnières de l’année dernière.
Il convient de noter que cette année, la période d’achats entre Thanksgiving et Noël sera plus courte, ne durant que 26 jours. La NRF définit la période des fêtes comme les ventes ayant lieu du 1er novembre au 31 décembre, à l’exclusion des achats effectués auprès des concessionnaires automobiles, des stations-service et des restaurants.
Des facteurs tels que les impacts économiques des ouragans Helen et Milton, ainsi que l’imminence de l’élection présidentielle américaine de 2024, pourraient également influencer les dépenses de consommation, bien que leurs effets précis restent difficiles à évaluer.
Jack Kleinhenz, économiste en chef de la NRF, s’est montré optimiste quant au rythme de l’activité économique au cours du second semestre de l’année. Bien que les finances des ménages semblent être en « bonne forme », il a noté que le groupe prévoit que les Américains « dépenseront avec plus de prudence » pendant cette période de fêtes.
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