Selon certaines informations, les États-Unis pourraient limiter les ventes de puces d’intelligence artificielle avancées provenant de fabricants de puces basés aux États-Unis à certains pays, notamment ceux du Moyen-Orient.
Ces dernières semaines, les responsables de l’administration Biden ont discuté de la possibilité de plafonner les licences d’exportation pour les puces d’IA avancées, y compris celles de Nvidia (NVDA+7.29%) et micro appareils avancés (DMLA), évoquant des préoccupations de sécurité nationale, Bloomberg a rapporté avoir cité des personnes anonymes au courant du dossier. L’administration Biden se concentrerait sur les pays du Moyen-Orient qui ont commencé à investir des milliards dans les centres de données d’IA.
Le plafond des licences d’exportation suivrait celui du ministère du Commerce extension récente de ses exceptions de licence pour inclure les centres de données. L’exception de licence permet aux entreprises américaines d’envoyer plus facilement des puces d’IA aux pays qui construisent des centres de données au Moyen-Orient.
Plus tôt cette année, les autorités américaines ont commencé ralentir la délivrance des licences à Nvidia, AMD, et d’autres fabricants de puces américains pour avoir expédié des accélérateurs d’IA à grande échelle au Moyen-Orient, Bloomberg signalé. Les responsables américains auraient également mené une étude de sécurité nationale sur la technologie de l’IA en cours de développement dans la région.
Nvidia et le Bureau de l’industrie et de la sécurité du ministère du Commerce, qui est responsable des contrôles à l’exportation, ont tous deux refusé la demande de commentaires de Quartz. AMD n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires.
En juin, l’Arabie saoudite a annoncé la création de son pôle national de semi-conducteurs développer des entreprises de semi-conducteurs qui peut concevoir de nouvelles puces. Le royaume a déclaré qu’il voulait attirer 50 entreprises en Arabie saoudite d’ici 2030. Cependant, le pôle se concentre actuellement sur les puces simples, et pas sur les puces avancées pour l’IA et la technologie militaire, Bloomberg signalé.
Le Fonds d’investissement public d’Arabie saoudite, qui a investi dans des start-ups technologiques américaines, a mis de côté 40 milliards de dollars pour investir dans la technologie de l’IA, rapporte le New York Times signalé plus tôt cette année. Le fonds travaillerait avec les principaux investisseurs américains, notamment Andreessen Horowitz.
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